dimanche 31 mai 2009
Ragréage (mon vocabulaire s'enrichit de semaine en semaine)
Le mélange n'ayant pas toujours été très homogène, la surface de la dalle comportait de nombreuses zones où les billes de schiste n'étaient pas solidaires les unes des autres en surface. Je me suis donc lancé dans un ragréage hier. Je n'ai eu le temps de faire que la moitié de la surface totale environ. Je finirai le week-end prochain, de toute façon, je préfère attendre que les échafaudages des charpentiers qui assemblent le plancher aient disparu.
jeudi 28 mai 2009
dimanche 17 mai 2009
La dalle est coulée
Le samedi 16 mai restera dans les annales de l'histoire de notre maison. Jugeons-en :
Mais nous n'aurions pas faire tout ça sans nous entourer d'experts en tout genre.
vendredi 15 mai 2009
Branle bas de combat
Tout le monde au taquet demain, on coule la dalle. J'ai fini de poser mes bastaings à 21 h 45 ce soir, espérons qu'ils sauront se tenir et que la météo sera clémente.
mercredi 13 mai 2009
lundi 11 mai 2009
Le plancher avance. Sera-t-il suffisamment avancé samedi pour nous couvrir en cas de pluie au moment de couler la dalle ? Mystère et boule de gomme.

En tout cas, si un jour on décide de démonter la maison pour la reconstruire ailleurs, on n'aura pas trop de mal à refaire le cloué décalé, tout est numéroté.
dimanche 10 mai 2009
Encore du liège
Ce week-end, en prévision du suivant qui devrait voir la dalle se couler, nous avons posé la bande de liège qui crée une rupture entre la dalle et les murs de soubassement. Simon était au maillet, Isabelle et Sébastien (encore merci) au niveau et à la colle. Pendant ce temps-là, je bouchais un trou pour en creuser un autre car la ventilation du hérisson du cellier donnait dans la dalle au lieu de donner dans le hérisson, c'est plutôt ballot.
mercredi 6 mai 2009
lundi 4 mai 2009
Sinon, Isabelle est entrée en guerre avec la renouée du Japon. Cette plante pas si désagréable que ça d'apparence a la mauvaise habitude d'envahir tout espace disponible et la particularité de repousser à partir de presque rien, même si ce presque rien est enfoui très profondément. Invasive, elle est partie de l'angle de notre talus et a déjà colonisé tout le long de la route. On suppose que ce sont des travaux de terrassement antérieurs (voirie, EDF,...) qui ont amené cette belle saloperie sur notre parcelle.
Ce week-end, on a joué les terrassiers d'avant-guerre, histoire de rendre la pose du drain plus facile quand le moment sera venu. On a également commencé à poser de la nappe drainante (façade sud et ouest) qui servira à faire ruisseler idéalement les eaux perfides vers le futur drain, mais j'espère qu'on ne me la fera pas enlever. En effet, elle a des picots de haut en bas, ce qui fait une surépaisseur de 0,5 cm par rapport au liège et je ne suis pas bien sûr de mon fait, rapport au bardage. J'attends le verdict des charpentiers.
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