Et comme toujours ce fut Gégène qui imposa le rythme (pour ceux qui connaissent, c'est plutôt soutenu, et d'ailleurs c'est écrit sur son t-shirt).

Les mains ont la parole...

Le compacteur du jour :

L'équipe du matin et celle de l'après-midi. Merci David pour les photos.

Hourra ! Le remblai est terminé, même si c'était pas gagné. Reconnaissance éternelle à Patrick, Gégène, Lulu, Norman, François et à ceux qui ont oeuvré en coulisses (qui ont chouchouté Simon ce week-end). Pour le bêtisier du week-end, on est en attente de photos. Ca ne doit pas manquer. Finalement, notre petit télescopique nous a été bien utile une fois dégagé. Sauf qu'un flexible a pété en fin de journée et qu'il a commencé à répandre de l'huile dans notre bon verger bio, mince pour les nappes phréatiques.

Aujourd'hui, suite du remblai des soubassements. Oui mais voilà, il a fait un temps pourri une bonne partie de la semaine et le terrain n'est qu'une éponge, une patinoire de glaise. D'où, la catastrophe illustrée ci-contre. Nous avons dû appeler notre terrassier au secours. Et quitte à faire des conneries, autant y aller à fond, on a niqué un poteau (plot pour la toiture de la future terrasse), peut-être même deux. La suite demain.

Au menu du jour : le cellier continue de monter et les semelles de tous les plots béton ont été coulées (pour l'appentis, le CDI sur pilotis, la terrasse ouest et les panneaux solaires).

Les parois extérieures du soubassement agglos ont été enduites avec un hydrofuge et le premier rang de briques a été posé sur le cellier.

Chers amis du samedi (28), il me semble qu'une confusion généralisée règne parmi vous. Nous ne toucherons pas au hérisson (point encore), l'objectif est de finir de remblayer les soubassements avec les gravats issus du terrassement, en fait nous ferons un nid douillet pour accueillir le hérisson ultérieurement. Rassurez-vous, cette fois nous serons motorisés (chargeur à bras téléscopique), ce qui fait que vous ne serez pas obligés de piocher et de brouetter comme nous le fîmes tout ce week-end. Ratissage puis compactage à la plaque vibrante par couches de 10 cm, tel sera le menu. Merci encore à David et Mimi.

Week-end à Cayenne.

Voir le schéma mentionné précédemment pour juger de l'effort (on ne peut plus ouvrir un bocal à cornichons). Et dire que ce n'est que le cellier.

20 cm de remblai dans le cellier cet après-midi, vivement le chargeur télescopique.

Finalement, la tête a des bras.

La tête et les bras (ou réunion préparatoire à la première phase de remblai.)

Du béton frais comme la rosée. Le chaînage et les soubassements du pisé sont terminés.

Les soubassements se sont habillés de sapin pour le chaînage. Tous les coffrages sont terminés, que le béton coule à flots (normalement demain) !

Coffrages et ferraillage sont les deux mamelles du soubassement béton.

Voilà ce qui nous attend dans quelques temps.

La montée du parpaing touche à sa fin. Il faut maintenant attaquer le soubassement béton des deux murs en pisé au sud.

Je me suis porté volontaire pour donner un coup de main sur un chantier d'auto-constructeurs du côté de Bricquebec le samedi 21 mars. Ils coulent leur dalle ce jour-là, et comme un fait exprès non mais c'est-y pas possib' une telle coïncidence, il s'agit d'une dalle chaux/schiste, comme nous. Formation et bonne action, voilà le secret d'un chantier épanoui. Merci à Monsieur F pour le tuyau.

Sainte Truelle, donnez-nous notre parpaing quotidien.

Encore un peu d'agglos...

Un peu plus d'agglos... mais il semblerait que pris dans leur élan, les maçons soient montés un peu trop haut. La fièvre du parpaing...

Aujourd'hui ont été posés les premiers parpaings, les premiers agglos, les blocs béton quoi. Emotion :°)

Les semelles ont été coulées hier ! Simon a tâté de la bétonnière. Les maçons ont dû recourir à ce petit modèle d'un autre âge car nos pommiers ne permettaient pas de faire manoeuvrer une grosse toupie sur le terrain. Je sais, on est em... avec nos pommiers.

EDF nous a branché un compteur de chantier que notre électricien nous a gentiment prêté. Heureusement d'ailleurs car une location de ce type de matériel coûte la peau des fesses.